Force est de constater que depuis bientôt 10 ans, la DPVD a connu de nombreuses réorganisations
sans pour autant que ne soient toutefois apportées d’améliorations pérennes des conditions de travail des agents
ainsi qu’un fonctionnement plus efficient, et ce malgré l’investissement de beaucoup d’entre eux.
Aussi, les agents concernés s’interrogent légitimement sur cette énième réorganisation qui ne dit vraiment son nom au regard de l’absence d’objectifs clairement exposés.
Longtemps l’absence de tout document préparatoire ou compte rendu de réunion, et la circulation d’informations parcellaires et/ou contradictoires
émanant de différents interlocuteurs a été la règle concernant ce projet.
Nous déplorons ainsi un semblant de concertation et dénonçons un discours culpabilisateur en direction des agents.
En effet, cette réorganisation repose sur :
– l’arrivée d’un nombre croissant de catégorie A,
– la création de pôle pour des A,
– le désir formulé de réduire le nombre d’agents d’intervention,
– la perte d’autonomie des encadrants intermédiaires et des CSCEP,
– l’augmentation du nombre d’encadrants,
– la modification (ajout ou retrait) de missions sur les fiches de poste
La colère gronde à la DPVD, les agents avec leur syndicat CGT ont écrit au Président , ci-dessous :
comme pour la culture, ce dossier sera présenté au CT du 16 mars.